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H

Hernie discale

La hernie discale est une maladie du disque intervertébral. Jouant le rôle d’amortisseur entre deux vertèbres, ces disques s’usent avec le temps et peuvent parfois se déformer ou sortir de leur enveloppe.



Hémochromatose

C’est une maladie autosomique récessive responsable d’une accumulation progressive de fer dans les différents tissus de l’organisme, notamment le foie, le pancréas et le coeur.

Le fer dans l’organisme, dont les réserves sont estimées entre 3 et 5g, se répartit de la façon suivante :

  • hémoglobine : 60 % du fer total
  • myoglobine : 3 % du fer de l’organisme
  • organes de réserve (foie, rate et moelle osseuse) : 30 % du fer de l’organisme. Le fer est stocké sous deux formes : la ferritine, forme de réserve facilement mobilisable, et l’hémosidérine, difficilement mobilisable
  • compartiment de transport plasmatique : constitué de fer transferrinique. Il représente 1 pour mille du fer total de l’organisme.

Conséquences sur l’organisme :

  • L’excès de fer tissulaire a un rôle diabétogène. En effet, l’accumulation intracellulaire du fer provoque un dysfonctionnement des hépatocytes et des cellules bêta du pancréas causant des troubles du métabolisme du glucose et de l’insuline.
  • Une toxicité du fer sur les chondrocytes et la plaque cartilagineuse pourraient expliquer la pathogénie des atteintes musculaires de l’hémochromatose génétique
  • L’accumulation intratissulaire de fer se fait préférentiellement au niveau de l’épicarde et il se constitue progressivement une cardiomyopathie hypertrophique aux dépens du ventricule gauche.
  • L’atteinte cardiaque serait moins fréquente que le diabète ou la cirrhose.


Méfaits du Cannabis, Haschich…

Des patients se présentent régulièrement,
avec des symptômes d’angoisses au fond des tripes,
un encrassement des poumons,
des dérégulations au niveau digestif,
des reins fatigués,
une fatigue oculaire intense et continue…

Au ressenti des mains, c’est flagrant…
ressentis qui vont jusqu’au centre du cerveau où certaines zones sont « anormalement » bloquées ou surchargées – ce qui produit une lenteur anormale de réinitialisation des émotions, et probablement d’autres fonctions plus physiologiques.

Lorsqu’un historique de consommation est demandé au patient,
même une consommation assidue datant de plus de 5 ans continue à produire ses inconvénients.

A cet effet, voici le lien de DROGUES & dépendance

EFFETS & DANGERS DU CANNABIS

Les effets immédiats

Les consommateurs recherchent un état de détente, de bien-être et une modification des perceptions (par exemple, sensation de mieux entendre la musique). Mais les effets recherchés ne sont pas toujours obtenus.
Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère euphorie accompagnée d’un sentiment d’apaisement, légère somnolence. Mais elle peut entraîner aussi parfois un malaise, une intoxication aigüe (« bad trip ») qui peut se traduire par des tremblements, des vomissements, une impression de confusion, d’étouffement, une angoisse très forte.

Le cannabis diminue les capacités de mémoire immédiate et de concentration chez les consommateurs, tant qu’ils sont sous l’effet du cannabis. La perception visuelle, la vigilance et les réflexes sont également modifiés. Ces effets peuvent être dangereux si l’on conduit une voiture ou si l’on utilise des machines (machines-outils par exemple).
Selon la personne, la quantité consommée et la composition du produit, le cannabis peut avoir des effets physiques comme :

  • un gonflement des vaisseaux sanguins (yeux rouges) ;
  • une augmentation de l’appétit (fringales) ;
  • une augmentation du rythme du pouls (palpitations) ;
  • une diminution de la sécrétion salivaire (bouche sèche) ;
  • parfois une sensation de nausée.

A 17 ans, un adolescent sur cinq consomme du cannabis plus de 10 fois dans l’année, et 15% d’entre eux plusieurs fois par semaine.

LES RISQUES RESPIRATOIRES

La fumée du cannabis contient des substances cancérigènes comme celle du tabac : elle est donc toxique pour le système respiratoire. L’association du tabac et du cannabis entraîne des cancers du poumon plus précoces que le tabac seul. Les risques respiratoires sont amplifiés dans certaines conditions d’inhalation (pipes à eau, « douilles »).

Les effets d’une consommation régulière

Certains effets sont loin d’être anodins et révèlent un usage problématique, donc nocif :

  • difficultés de concentration, difficultés scolaires ;
  • préoccupations centrées sur l’obtention et la consommation du produit, isolement social et perte de motivation ;
  • risques pour l’usager et son entourage, liés aux contacts avec des circuits illicites pour se procurer le produit ;
  • chez certaines personnes vulnérables, le cannabis peut engendrer ou aggraver un certain nombre de troubles psychiques comme l’anxiété, la panique et favoriser la dépression. Il peut aussi provoquer l’apparition d’une psychose cannabique : il s’agit d’une bouffée délirante qui nécessite une hospitalisation dans un service spécialisé. Le cannabis est également susceptible, chez les sujets prédisposés, de révéler ou d’aggraver les manifestations d’une maladie mentale grave, comme la schizophrénie.